La FRBTP tient à dénoncer fermement la prise en otage des entreprises du BTP, qui subissent de plein fouet les conséquences d’un conflit dont elles ne sont pas responsables. Chaque journée de grève représente une perte estimée à 6 millions d’euros pour le secteur, mettant en péril l’équilibre économique de nombreuses entreprises et menaçant l’emploi local.

ASL – Levage, Transport, Manutention a récemment mené une opération de maintenance particulièrement exigeante sur le site d’ALBIOMA Bois Rouge. L’intervention portait sur des antennes situées au sommet d’une cheminée de 53 mètres de hauteur, un chantier qui requiert à la fois précision, expertise et rigueur.

La mobilisation de la FRBTP et de la FNTP sur ce dossier a conduit Bercy à mettre en place un groupe de travail.
Ainsi depuis le 19 février dernier, il n’est donc plus possible sur Chorus Pro de refuser un projet de décompte en raison de montants erronés. Dans ce cas de figure, le maître d’œuvre est guidé dans la procédure via l’affichage d’une nouvelle fenêtre l’invitant à corriger les montants.
L’affichage de cette fenêtre nécessite néanmoins la sélection d’un motif d’erreur dont le libellé est « erreur de montant ».

Cette 22ème édition des Coulisses du BTP, évènement convivial et gratuit du vendredi 11 octobre 2024, va permettre aux visiteurs d’être les témoins des réalisations de demain et de se forger leur propre opinion sur le secteur.

Nous accompagnons les entreprises dans la mise en conformité et l’optimisation des charges sociales à travers l’application des dernières évolutions règlementaires ainsi qu’une analyse globale de la paie réalisée à partir de notre veille juridique et réglementaire.

LUNDI 17 JUIN 2024
de 8h30 à 10h00
au siège de la CPME Réunion
4 rue poivre 97460 SAINT-PAUL

Le Handi’Sensi propose des sessions courtes pour sensibiliser vos équipes sur diverses thématiques liées à l’emploi et au handicap.

Les commerces situés au pied des barres d’immeubles et dans certaines zones excentrées de La Réunion peinent à trouver des locataires et ferment les uns après les autres. Cette situation concerne particulièrement le bas de la rue Maréchal Leclerc à Saint-Denis, où de nombreux magasins ont déjà baissé le rideau, laissant derrière eux des bâtiments vides.

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